On va le garder finalement

C’était dimanche soir. Toute la maison dormait. J’avais dû mené un sacré combat pour endormir ma fille et un autre combat pour que le Haricot lève le nez de son manga et éteigne enfin sa lumière.   Je dormais à poings fermés, qu’est-ce que j’en avais besoin… P****** que c’est bon le sommeil profond.